Une des erreurs que les propriétaires d’e-shop commettent quelquefois consistent à choisir la mauvaise expression-clé. Pour ce, ils visent les mots-clés génériques les plus stratégiques dans leur secteur d’activité mais ces termes sont généralement trop concurrentiels et ils ont du mal à se placer en haut des Serps. Il se peut aussi que les termes qu’ils considèrent corrects peuvent avoir une toute autre signification pour les utilisateurs (leur public cible). Ce qui n’attire pas le trafic souhaité. D’autres négligent la préférence des moteurs de recherche pour les mots-clés à longue traîne. Pour éviter ces erreurs d’optimisation pour les mauvais mot-clé, les outils comme SEMrush ou Google trends peuvent aider à connaître la tendance et les mots-clés les plus pertinents.
Penser que son contenu est suffisant sans faire de construction de backlinks
Certes, il est possible qu’un site web obtienne un lien sans aucun effort de netlinking de la part de son propriétaire, cependant cette stratégie peut stagner le trafic de la majorité des articles sur son site. La création de liens externes, la présence sur les réseaux sociaux, les blogs invités, le post des commentaires sont tout aussi importants que la création d’un contenu susceptible d’attirer des liens. Pour une optimisation adéquate, les spécialistes du marketing du contenu devront ainsi tisser des liens vers des sites web pertinents et avoir également des liens référents jouissant d’une bonne réputation qui pointent vers leur site. Afin d’avoir un aperçu de la performance d’un e-shop, il est recommandé d’utiliser des outils d’analyses comme Google analytics et la search console. Ces outils aident à identifier comment fonctionne ses contenus et ils donnent aussi des idées sur les optimisations de mots-clés à mettre en place.
Publier de textes dupliqués
Pour tirer parti du meilleur du référencement, il convient également de tenir compte de l’importance d’une absence de doublons et de contenu dupliqué. Ce n’est pas seulement le fait de plagier des contenus à divers endroits sur la toile, c’est aussi le fait de présenter 2 Urls et deux balises meta title identiques. Cela concerne notamment la description des fiches produits des plateformes d’e-commerce. Le mieux est donc de chercher des idées originales ou de reformuler à sa façon les données afin d’éviter les pages présentant de ressemblance de contenu trop marquée.
Bourrer un texte avec des mots-clés
Beaucoup pensent encore qu’il suffit d’utiliser ses expressions-clés cibles dans chaque phrase de son texte pour bien se positionner dans les résultats de recherche. Or, cette approche pourrait apporter des résultats néfastes pour son référencement car c’est une technique considérée spammy par les moteurs de recherche. En plus, le bourrage d’expressions-clés dévalorise le texte au lieu d’apporter de la valeur ajoutée car il interrompt sa lisibilité. D’ailleurs, cela ne sert pas à grand-chose car Google se sert d’une recherche sémantique baptisée latent semantic indexing. Ce programme lui permet de classer le contenu sans qu’on ait besoin de répéter indéfiniment ses mots-clés cibles. En revanche, l’utilisation d’un champ lexical vaste autour du mot-clé dans lequel on souhaite se classer est une bonne méthode SEO.
Avoir des liens brisés
Les codes 404 nuisent à son SEO. De plus, ils peuvent ennuyer les visiteurs. Cette erreur pourrait survenir lorsqu’on a fait une mauvaise redirection, lorsqu’on a changé la structure d’une Url ou lorsqu’on a déplacé un texte. Les sites qui possèdent un grand nombre de pages sont les plus souvent confrontés à ce problème. La vérification de la redirection et l’utilisation des outils comme screamingfrog aident à réparer le lien cassé.
Prendre peu de soins de balises meta title et meta description
La balise meta description est la petite zone de 155 caractères qu’on retrouve sur les résultats de recherche. Elle décrit le contenu de la page en question d’une manière succincte. La description pertinente de cette balise augmente le taux de clics et améliore le classement de la page. Cela permet aussi de gagner la confiance des utilisateurs. Il faut ainsi contrôler si elle est bien unique sur toutes les pages du site web et qu’elle contient les informations dont les utilisateurs ont besoin. La balise title, quant à elle définit le contenu du lien. Elle doit révéler le contenu qu’on cible, le type d’activité de l’entreprise et le mot-clé sur lequel on souhaite se classer.
Créer du contenu qui n’a pas de valeur ajoutée
Un autre piège à éviter en stratégie de référencement naturel est d’abord la création d’un contenu qui n’a rien à voir avec le mot-clé du site. Cela parce qu’on souhaite se positionner sur le mot-clé mais on n’y arrive pas. Et on a aussi du mal à se hisser sur son sujet cible. Or, Google devient de plus en plus performant et il ne souhaite qu’offrir le résultat le plus pertinent aux requêtes des utilisateurs. Pour ce, prioriser le contenu long bien structuré de 1200 mots environ car il propose une meilleure expérience aux utilisateurs. Voilà pourquoi, les référenceurs intègrent la méthode de cocon sémantique et contenu de qualité pour une bonne organisation de leur stratégie SEO.
Oublier la mise à jour régulière
La publication à une certaine fréquence d’un article sur un site web a des effets positifs sur le classement de la page en question sur les Serps. Pour rester en vie tout en s’attirant des faveurs de ces derniers et des internautes, la publication régulière de textes de qualité est une approche de référencement non négligeable.
Oublier d’entretenir ses relations numériques
Depuis quelques années, pour grandir sur le web, il est utile de « socialiser » sur les communautés sociales comme facebook, twitter, pinterest, linkeldn etc. La présence sur les réseaux sociaux aide également à générer des leads tout en améliorant son taux de conversion et sa visibilité sur la toile. Il s’agit donc d’un outil ultime à ne pas oublier au même titre que la publication d’un texte d’une façon ponctuelle. De même, un propriétaire d’un site e-commerce devrait aussi trouver des moyens d’engager ses visiteurs par le biais d’une newsletter ou par la création d’un lien interne qui les dirige vers un autre texte qui répond à leur problématique.
Ne pas investir dans une expérience conviviale pour les utilisateurs mobiles
En 2018, il y a encore des sites web non compatibles aux appareils mobiles. Or cela peut compromettre leur classement sur les résultats de recherche. De même, il faut aussi revoir la vitesse de chargement et la présentation visuelle du site. Si vous n’avez pas la compétence et la ressource en interne de réparer ces erreurs, il est conseillé d’allouer une partie de votre budget en faisant appel à une agence de référencement.